Jerez et Tarifa (17e journée)

Je dois vraiment diminuer ce que j’écris, je manque de temps…

On se lève pas trop tard ce matin, aujourd’hui c’est surtout une journée de plage.  J’ai un peu mieux dormi du fait que j’ai regonflé le matelas.  On s’Est fait piquer durant la nuit car je me lève avec des grosses boursouffles.  Bon petit déjeuner gracieuseté Ebtie, identique à celui d’hier.

Aujourd’hui notre destination c’est Tarifa qui est l’endroit le plus au sud de l’espagne.  La route se passe très bien et nous n’avons aucune difficultés à nous stationner.  Nous allons sur le bord de la côte et à partir de là nous pouvons apercevoir (il y a un peu de brouillard) le continent africain, wow on peut apercevoir les montagnes du Maroc.

Nous visitons un peu la ville, il y a pas grand chose ;a voir, mais nous sommes venu ici pour la plage.  On dîne sur une petite terrasse, une bonne pizza carbonara (j’en ai mangé 3 pendant le voyage).  On retourne à la voiture pour se rapprocher d’une plage.  Malheureusement c’est trop fou, les gens sont cordés sur la plage et en plus on ne trouve pas de stationnement.  On décide de partir et d’aller sur une plage beaucoup plus éloigné que le bureau d’info touristique nous conseille, la plage de Bolonia.

Environs 20 minutes plus tard nous sommes à la plage de Bolonia, c’est vraiment beau et il y a juste assez de monde et du stationnement gratos :)  On en profite pendant quelques heure, ça fait vraiment du bien et en plus il y a un petit vent qui nous fait supporter la chaleur, l’Eau est froide par contre mais ça s’endure.  Nous quittons vers 18h15 pour retourner à Jerez.

De retour on se prépare toute la gang, même Ebtie que nous invitons à manger au resto, de l’italien encore ce soir (la bouffe espagnole chu pu capable c’est toujours la même chose).  On prend sa voiture pour y aller, je te dis qu’elle conduit elle dans ces petites rues étroites.  On se gare, ouch les pneus, on lui apprend qu’elle peut les crever à frotter contre le trottoir comme ça.  On passe les 10 prochaines minutes à chercher le resto, on finit par trouver, une porte au milieu de nul part qui ne laisse pas du tout deviner qu’il y a un resto à cet endroit (une ruelle ultra sombre).  En entrant on a un choc, c’est un très beau resto très bien décoré et très grand tenu par de vrais italiens.  Je mange un risotto et comme dessert un Tiramisu, c’est tellement bon.

Apres avoir bien mangé on se dirige vers une discothèque de type arabe, 6 discothèques à ciel ouvert pour être plus précis.  Encore une fois il faut passer par une minuscule porte sans aucune enseigne qui ne laisse pas entrevoir l’endroit incroyable qui se cache derrière.  Il n’y a pas beaucoup de monde, il est juste minuit et les gens de la place commence à sortir vers 1h du matin et ça ne ferme pas avant 9h le matin.  C’est trop malade, on se promène de salle en salle, on a même le droit de monter à la disco VIP grâce à Eptie, le premier verre à la santé de la maison.  Nous ne voulions pas partir trop tard, mais on finit par partir à 5h du matin.  Eptie est bien chaude et elle conduit son auto (moi je suis à jeun et je capote ma ceinture marche pas), on manque de rentrer dans le trottoir, mais on arrive en un seul morceau.  Direct dodo pour moi car on fait la route demain pour Seville.  Belle soirée :)

Bone nuit! 

Photos diverses

Des centaines de panneaux solaires sur la route de retour de Tarifa.

Une des discothèques, celle-ci n’est pas à ciel ouvert.

Ebti et moi au bar.










La gang au bar.

Une des portes qui séparent les différentes discothèques.